Les médias locaux se sont tour à tour emparés de l’information. Un cabinet d’expertise d’assuré, représenté probablement par un homme vêtu de noir se promenant avec son mètre pour tirer plus vite que son ombre les mensurations de la carcasse carbonisée, avait déjà déposé sa carte et sa brochure gluante de bons sentiments, du malheur dont elle se nourrit opportunément.

Il ne reste plus rien de la machine calcinée (mais plus le projecteur : l’écran demeurera noir…). Pas si vieux le tour (ni d’Coty – ni de cote-t-on) avec son carrousel enchanteur… est parti en fumées corrosives se déposer sur nombre d’outils, pièces et machines voisines entraînant des dommages supplémentaires bien plus long à déterminer et à analyser… A nous de traiter sans détour !
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